En allant voir Une bouteille à la mer, je ne pouvais m’empêcher de penser au sympathique mais écœurant film du même nom avec Kevin Costner. Mais dans Une bouteille à la mer de Thierry Binisti, un tout autre genre de charme apparaît, bien loin de la mièvrerie américaine ; on retrouve notre passé et on se prend à se souvenir d’une vie que l’on n’a jamais vécue.
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De toute façon, le cinéma, c’est que du bonheur (Flavie Flamand).
C’est pas les pieds de porc ? (Maïté)
Le cinéma, c’est des pieds de porc. (André Breton)
Je viens trainer sur ce forum et m’aperçois du niveau hautement intellectuel des débats cinéphiles sur Grand-Ecart. Merci.
C’est vrai, nous sommes un cran en dessous des débats cinéphiles du blog de Bertrand Tavernier, j’en conviens et, c’est vrai, j’en conviens.
J’en profite, une nouvelle fois, pour vous suggérer de revoir LE SAUVAGE de Jean-Paul Rappeneau. Sous la légèreté et la cocasserie se cache une œuvre qui pétille de vie, mise en scène avec une précision d’horloger. Remboursé par la sécu, je vous dis.